Si un évènement exceptionnel ou insolite vous est arrivé, n'hésitez pas à nous en faire part. Contactez-nous:
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C'est arrivé à Jean, après un achat d'une charcuterie:
Récemment, j'ai fait l'achat d'une charcuterie sous emballage, étiquetée "sans nitrite".
Le lendemain, après avoir eu le plaisir de la déguster, j'ai été malade, fortement malade.
Le nitrite étant un élément employé en charcuterie pour la conservation,
le fait qu'elle ait été élaborée sans nitrite serait-elle plus dangereuse que celle traitée avec nitrite ?
Je tiens à signaler que c'est une idée tout à fait personnelle,
et que je ne peux imputer à 100 % ce malaise à l'absorbtion de cette charcuterie.
Je ne fais que constater un fait, et le signaler, dans le seul but d'y réfléchir.
C'est arrivé à Robert, au volant de sa voiture:
Un dimanche, je me suis rendu à un Grand Meeting, organisé en banlieue d'un village.
Arrivé à l'entrée de ce village, j'arrive sur un rond-point.
Jusque là, aucune mention de Meeting.
Je fais une fois le tour du rond-point, je n'ai toujours pas vu un seul panneau de ma destination.
Je refais donc un "tour de manège", à vitesse plus réduite... toujours rien.
Encore plus lentement, j'en fais un troisième, et... peut-être bien un quatrième et même un cinquième.
Mon manège ayant interpelé un représentant de la Force de l'Ordre présent sur les lieux,
je suis invité à m'arrêter.
Et voici le dialogue que nous avons tenu:
- Vous en avez encore pour longtemps, à tourner en rond ?
- Eh bien, jusqu'à temps que je n'aie pas trouvé ma destination.
- Vous ne voyez pas clair ?... Vous ne savez pas lire les panneaux ?... Vous avez bu ?... Des panneaux il n'y en a pas assez ?
- Justement si, il y en a beaucoup, mais pas le bon. Je vais au Meeting.
- Direction Meeting, c'est là. Mais avant... Alcootest !
Bien entendu, l'alcootest se révèle négatif, et le Monsieur, de continuer sur sa lancée, toujours aussi arogant et désagréable.
- Vous pouvez partir, allez, circulez !
- Je vous remercie. Je ne vous dis pas "Au revoir", car vous ne m'avez pas dit "Bonjour".
Déçu, écoeuré et tellement refroidi,
j'ai fait demi-tour et suis rentré chez moi, sous l'étonnement de mon interlocuteur,
qui n'a pas manqué de se dire probablement pour la millième fois:
"Il y a quand même des gens bizarres sur la route ! Et le pire,
c'est qu'on leur laisse un volant dans les mains !".
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C'est arrivé à Nicole et Pierre, accompagnés dee leur directeur du personnel:
Alors qu'ils sortent du bureau à midi et marchent vers un petit restaurant, ils trouvent sur un banc une vieille lampe à huile.
Machinalement ils en essuient la poussière et... un Génie s'en échappe.
" Vous pouvez exprimer trois souhaits et, comme vous êtes trois, je vous en accorde chacun un " dit-il.
Nicole, de s'empresser de dire:
" Je veux aller vivre aux Bahamas et profiter pleinement de la vie ! ".
Sitôt dit, sitôt fait... et elle disparait.
C'est au tour de Pierre, de dire:
" Moi je veux aller vivre à Tahiti, jusqu'à la fin de mes jours ! ".
Sitôt dit, sitôt fait... et il disparait aussi.
" C'est à toi " dit le Génie au directeur du personnel. " Dis-moi ton souhait, et il sera pleinement exhaussé ! ".
Et le directeur de dire:
" Eh bien moi, je veux que ces deux là soient de retour au bureau après le déjeuner ! ".
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C'est arrivé à Bruno:
Hier soir, mon épouse et moi étions dans le salon et nous discutions de choses et d'autres, puis nous en sommes venus à parler de l'euthanasie.
Sujet bien délicat que ce choix entre la vie et la mort.
Je lui ai dit:
" Ne me laisse surtout jamais vivre dans cet état végétatif, dépendant d'une machine et alimenté par une bouteille. Si tu me vois ainsi, n'hésite pas à débrancher tous ces appareils qui me retiennent à la vie ".
Elle s'est levée, a débranché la télé, éteint l'ordinateur et a jeté ma bière.
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C'est arrivé à Pierre:
Il y a une trentaine d'années, mon épouse attendait un enfant, et comme j'allais bénéficier d'un mois de congés, j'ai prévu de consacrer ce temps de libre à lui faire sa chambre.
Décoration bleue, ou rose ? En ces temps, la médecine était incapable de nous dire si ce serait une fille ou un garçon.
Le seul moyen, c'était le test de la pièce de monnaie, ou le pendule.
Le test de la pièce consistait à mettre une pièce entre les seins de madame et, si en tombant (pas madame, la pièce) elle roulait à gauche, ce serait une fille.
Des tests, on en a fait trois, et à chaque fois elle a roulé à droite. Donc... ce sera un garçon.
Pour en être vraiment sûrs, on a fait appel à un ami, expert en la manipulation du pendule. Aucun doute, ce sera un garçon !
Alors, peinture, papier peint, décoration, tout ce qu'il y avait de bleu chez le droguiste nous l'avons acheté.
On n'attendait donc plus que " Philippe " !
Et... ce fut une fille, une jolie petite fille !
Aujourd'hui, " Viviane " a trente ans, et elle n'a rien d'un garçon... d'autant qu'elle nous a déjà donné deux magnifiques petits-enfants.
Alors que la médecine d'aujourd'hui lui eut permis de connaître leur sexe avant la naissance, elle ne l'a jamais voulu.
Et connaissez-vous sa couleur préférée ? Vous avez deviné... c'est le " Bleu " !
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C'est arrivé à Patrick:
Un jour j'ai mis cette petite annonce dans le journal:
" Je cherche une femme... ".
Vous ne savez pas ? Eh bien j'ai reçu plus de 200 réponses:
" Viens donc chercher la mienne ! "
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C'est arrivé à Jean-Pierre:
La compétence, ça se paye ! Vous allez comprendre.
Figurez-vous que cet été, en pleine nuit, je suis tombé en panne avec ma voiture.
Tomber en panne dans un petit village, à 11heures du soir, un dimanche, en période de vacances, sans portable sous la main, il n'en faut pas plus pour paniquer.
Je fais 100 mètres à pied et, sauvé ! Enfin je l'espère... je tombe sur une maison avec une fenêtre éclairée.
Je sonne, on m'ouvre, j'explique mon problème.
Déception :
" Un garage ? Mais mon cher monsieur, le plus proche est à 100 kilomètres. Et vous avez vu l'heure ? Par contre, allez voir le bijoutier, il habite en face, il est là, je vois de la lumière ".
Un bijoutier ! Un bijoutier ? Mais c'est d'un garagiste dont j'ai besoin !
Enfin, soit, je n'ai pas le choix. Je sonne, re-explication, je vois le bijoutier, il ne s'en étonne pas, puis il se rend avec moi à ma voiture.
" Ouvrez donc le capot ".
Il regarde minutieusement le moteur, ne touche absolument à rien, puis après 2 à 3 minutes il sort un petit marteau.
" Mettez le contact ".
Je mets le contact, il tape à un endroit bien précis, et... le moteur démarre.
Ma stupéfaction passée, il me dit:
" Vous me devez 101€ ".
Nouvelle stupéfaction. Mais soit ! Il m'a dépanné, je suis ravi, je lui donne 101€. Et pourquoi 101 ?
" Vous voulez bien me faire une facture ? ", lui dis-je.
Alors il sort un petit carnet, et dessus il écrit:
- 1 coup de marteau.......... 1€
- Savoir où taper.............. 100€
Si ça, ce n'est pas de la compétence !
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C'est arrivé à Jean-Jacques:
Voici la mésaventure qui m'est arrivée récemment, qui prouve qu'il ne faut pas toujours suivre à la lettre les idées des femmes:
Alors que j'étais en galante compagnie, voilà l'échange que mon amie et moi avons eu soudain:
- Ciel mon mari ! Vite Jean-Jacques, saute par la fenêtre !
- Saute par la fenêtre, tu me fais rire, on est au 13ème étage !
- Oh ! C'est pas le moment d'être superstitieux !
PS: Si je vous écris ce mot aujourd'hui, et bien en vie, c'est que je n'ai pas sauté.
(Mon amie... mon ex-amie, elle, est chambre 912 à l'hôpital de Saint-Quentin).
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C'est arrivé à Jean:
Mon médecin, c'est un type formidable.
On s'entend vachement bien tous les deux.
Et... un humour !
Récemment j'étais dans son cabinet de consultation.
Il regarde ma dernière analyse, et il me dit:
" Vous avez un peu trop de fer ".
Je lui dis alors:
" Qu'est-ce qu'il faut faire ? ".
Il me répond:
" Il n'y a rien à faire, évitez seulement de sortir quand il pleut, vous risqueriez de rouiller ".
Vous en connaissez beaucoup de médecins comme ça ?
Au moins ce jour là, je n'ai pas coûté cher à la SECU !
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C'est arrivé à Josette:
L'autre jour j'ai dit à mon mari:
" Oh! Je me trouve moche! Je suis grasse! Je suis ridée ".
Et comme il ne réagissait pas, j'ai rajouté:
" Eh ben toi!... fais-moi un compliment! ".
Vous ne savez pas ce qu'il m'a répondu ?
" Ma chérie, je trouve que tu as une bonne vue! ".
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C'est arrivé à Michel:
Quand j'étais petit, mes parents m'ont emmené un jour au Musée du Louvre.
J'étais littéralement fasciné par toutes ces sculptures imposantes.
Et alors que j'étais en extase devant la Vénus de Milo, mon papa s'est approché tout près de moi et m'a dit:
" Tu vois ce qui t'attend si tu continues à ronger tes ongles ".
J'aime autant vous dire que de ce jour je n'ai jamais plus rongé mes ongles.
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C'est arrivé à Jean:
Moi quand j'étais petit, mes parents me laissaient aller poster leur courrier dans la boite aux lettres qui se trouvait à deux pas de chez nous.
J'arrivais tout juste à la hauteur de la fente pour y glisser les lettres.
Et avant de me laisser partir, maman me disait:
" Fais bien attention de ne pas les mettre à côté ".
Vous pensez bien que de me faire un tel honneur nécessitait de ma part de faire la plus grande attention.
Eh bien vous savez, aujourd'hui, à chaque fois que je mets du courrier dans la boite, j'entends la voix de ma mère qui me répète cette recommandation.
Ce qui fait que jamais je n'ai mis une lettre à côté du trou !
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C'est arrivé à Jean:
Un jour, j'ai rencontré Frédéric Dard.
C'était il y a quelques années, peu de temps avant qu'il nous quitte.
J'étais à Paris, Porte de Versailles, au Salon de la Photographie. Au même endroit, en même temps, avait lieu le Salon du Livre.
Je sors sur le Boulevard et, encore sous l'état d'hypnose de ce que je venais de voir, je me suis tamponné de plein fouet avec un monsieur, une "armoire à glace", qui s'est empressé de me prendre dans ses bras et de me dire: " Excusez-moi, j'étais dans la lune, vous n'avez pas mal ? "
Non non, lui ai-je dit. " C'est sûr ?.. Bon... tant mieux... Au revoir, bonne fin de journée ! "
C'est dix pas plus loin que je me suis dit: " Merde ! Mais c'est Frédéric Dard ! Il sort du Salon du Livre ! "
J'ai eu trente secondes ce type-là devant moi, il m'a serré dans ses bras, et je n'ai même pas eu l'occasion de lui dire l'admiration que j'avais pour lui et son humour.
Quel regret !!!
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C'est arrivé à Janine:
L'autre jour j'ai retrouvé par hasard trois anciens copains d'école, que je n'avais pas vus depuis bien longtemps, aujourd'hui en retraite.
- Qu'est-ce que tu fais maintenant Pierrot, depuis que tu es en retraite ?
- Oh, eh bien, je fais de la photo, je suis passionné !
- De la photo ! Super ! Toi Albert, qu'est-ce que tu fais ?
- Moi, je fais du jardinage, ça me permet de rester en pleine santé.
- En effet, tu as l'air en pleine forme. Et toi Jacques, tu fais quoi maintenant ?
- Moi, maintenant, je fais de la recherche.
- De la recherche ? Mais c'est génial !
- Oui, je passe mon temps à rechercher... mes lunettes... mes clés... mes chaussettes...
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C'est arrivé à... un anonyme:
Pas plus tard que ce matin, j'étais chez la boulangère.
Devant moi, une dame très agée était venue acheter sa baguette.
- Il vous manque 4 centimes, madame...
La dame cherche dans son porte-monnaie, usé par le temps et, gênée, elle dit:
- C'est tout ce que j'ai... est-ce que je pourrai vous les donner demain ?
Discrètement je lui ai glissé 4 centimes dans la main, et elle me regarda, comme si je venais de lui faire un cadeau inestimable.
C'est alors que j'ai perçu comme une petite lumière dans ses yeux.
- Une telle élégance, monsieur, je pensais bien que ça n'existait plus !
Jusqu'à la boulangère qui s'est mise à surenchérir, si bien qu'à mon tour j'étais tellement gêné que je ne savais plus où me mettre.
C'est une fois dans la rue, que j'ai pris conscience qu'elle avait considéré ces 4 petits centimes, non pas comme un cadeau, mais comme un geste d'amour et de respect.
Quand je repense à cette petite lumière dans ses yeux, j'en suis encore tout retourné.